3 mars 2021 – Urgent – Elections CNRACL du 1er au 15 mars 2021

Bonjour,
L’élection des représentants des actifs et des retraités au conseil d’administration de la CNRACL se déroule du 1er au 15 mars 2021

Dans un contexte de volonté de remise en cause des régimes de retraite, les élections à la CNRACL, la caisse de retraite des agents de la fonction publique hospitalière, il est très important de consolider la place de la CGT, organisation la plus revendicative dans cette instance.

– Soit par internet :
Du 1er mars 2021 à 9 heures au 15 mars 2021 à 18 heures.
Vous avez reçu accompagnant votre matériel de vote, un moyen d’authentification, composé d’un identifiant et d’un mot de passe, générés de façon aléatoire, permettant de vous connecter à la plateforme de vote. Il est possible de voter depuis n’importe quel ordinateur, tablette ou téléphone connecté à internet :
CLIQUER ICI

– Soit par correspondance :
Dès réception de votre matériel de vote et jusqu’au 15 mars 2021, le cachet de la poste faisant foi.
Vous avez reçu le matériel de vote accompagné d’une instruction. Il faut alors retourner votre carte T préaffranchie après y avoir apposé l’étiquette de vote correspondant à votre choix.

Votez bien, votez CGT !

Ci-joint :

>> Une vidéo pour savoir comment voter : CLIQUER ICI

>> Une note sur les modalités de vote : CLIQUER ICI

>> Deux affiches CGT CNRACL :
1343. Elections CNRACL affiche 1

1343. Elections CNRACL affiche 2

2 mars 2021 – Billet d’humeur de la semaine de Christophe Prudhomme « Confidentialité »

1274. Ségur de la santé Christophe Prudhomme

Billet d’humeur de la semaine

Confidentialité

J’ai choisi aujourd’hui de vous parler d’autre chose que du coronavirus, car il faut bien comprendre que toute l’agitation du gouvernement autour des mesures de pseudo-confinement masque le fait que la période est mise à profit pour avancer masqué sur d’autres sujets très importants.

Il s’agit notamment de ce qui est appelé le Health Data Hub, en français la collecte des données de santé des français. Données qui intéressent au plus haut point, ceux qui en ont fait un grand business, je veux parler des fameux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Heureusement que certains veillent au grain, comme par exemple le conseil d’administration de la CNAM (Caisse nationale d’assurance maladie) qui vient d’opposer un refus très ferme à la proposition du gouvernement de confier la gestion de cette entreprise à Microsoft.

Pour comprendre l’intérêt porté à la France, il faut savoir que notre Sécurité sociale possède une des bases de données de santé parmi les plus importantes du monde. Elle est utilisée aujourd’hui à visée épidémiologique alors que l’objectif de cette opération est d’ouvrir un accès à visée commerciale, pour proposer des assurances et des soins soi-disant personnalisés selon le niveau de risques des individus. Toutes choses en contradiction avec les fondements de la Sécurité sociale qui collecte des cotisations proportionnelles aux revenus et qui finance les soins en fonction des besoins des patients.

Nous voyons bien que cette opération vise à s’accaparer un bien public pour engranger des profits.

Il faut donc être particulièrement vigilants car sans mobilisation de la population pour la refuser, le gouvernement reviendra à la charge pour aboutir à ses fins. Nous sommes déjà assez surveillés, contrôlés, analysés, notamment via nos téléphones portables, l’utilisation de nos cartes de crédits ou encore par les réseaux sociaux.

Nos données de santé doivent être protégées et c’est à chacun de décider qui peut y avoir accès. C’est tout l’enjeu du fameux dossier médical partagé, serpent de mer depuis des années mais dont la mise en place reste d’actualité. Il est essentiel qu’il reste confidentiel et ne serve qu’à coordonner et améliorer la prise en charge du patient par les différents professionnels de santé choisis et désignés par celui-ci.

Veillons jalousement à nos libertés.

Dr Christophe Prudhomme

22 février 2021 – Compte-rendu de la journée d’étude du 19 février 2021 sur la Loi de transformation de la fonction publique

Journée d'étude Loi de transformation de la fonction publique

La journée d’étude du 19 février 2021 organisée par la coordination régionale CGT Santé et Action Sociale PACA a réuni une bonne trentaine de connexions, pour un total de plus de 100 participants puisque certains syndicats et USD avaient décidé de réunir des commissions exécutives ce même jour.

Nous avons pu apporter une vision globale de la Loi lors de cette journée en mettant en lien les différentes pièces du puzzle pour en montrer toute la cohérence.

En conclusion de cette initiative, nous avons décidé d’y apporter une suite logique en ciblant des problématiques spécifiques abordées et en les approfondissant tant d’un point de vue technique que politique. Au regard de l’actualité, le sujet choisi pour la prochaine initiative a été les « Lignes Directrices de Gestion ».

>> Ci-joint le diaporama présenté lors de la journée d’étude du 19 février sur la Loi de transformation de la fonction publique : CLIQUER ICI

>> Ci-joint également l’introduction relative à cette journée d’étude : CLIQUER ICI

16 février 2021 – Le Billet d’humeur de la semaine de Christophe Prudhomme « Bénéfices »

1274. Ségur de la santé Christophe Prudhomme

Billet d’humeur de la semaine

« Bénéfices »

Le journal Les Echos a publié hier un article très intéressant titré « Comment le COVID redessine les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques ». Nous apprenons que le chiffre d’affaires des 10 premières entreprises du médicament a été en 2020 de 468,5 milliards de dollars et que le résultat opérationnel, c’est-à-dire les bénéfices, se sont chiffrés à 108,9 milliards de dollars, soit 23 % du chiffre d’affaires. Cela signifie que pour un produit vendu 10 dollars, le laboratoire génère 2,3 dollars de profit. Une comparaison est éclairante sur l’énormité de ce chiffre : le résultat opérationnel de Toyota, une des entreprises automobiles les plus rentables au monde, était de 8,2 % avant la crise.

L’industrie pharmaceutique est donc une des activités les plus rentables au monde alors qu’elle produit des biens indispensables pour la population mondiale. Dans le contexte de la pandémie actuelle qui nécessite la production massive de vaccins au meilleur coût avec une disponibilité pour l’ensemble des pays de la planète, nous pouvons pointer une anomalie majeure. Est-il donc raisonnable de laisser les choses en l’état ? Sûrement pas. Au-delà de la pétition européenne « Pas de profit sur la pandémie » se pose la question de la maîtrise publique de la production des médicaments qui ne peuvent être des produits marchands comme les autres.

Les opposants à cette évolution nous expliquent qu’il est normal que les actionnaires bénéficient d’un retour sur leur investissement. C’est bien là que le bât blesse car de fait ces fameux investisseurs s’appuient largement sur la recherche publique et sur la socialisation des dépenses pour engranger des bénéfices honteux. Je ne suis pas économiste, mais je constate que les bénéfices du seul Sanofi représentent plus que ce que la somme octroyée par le gouvernement pour le fameux Ségur de la santé. Je ne peux donc que m’interroger, en tant que soignant, sur l’anormalité de cet état de fait qui explique largement les difficultés rencontrées dans nos hôpitaux, du fait du manque de manque de moyens chronique entretenu par les gouvernements depuis trop longtemps.

Dr Christophe Prudhomme

2 février 2021 – Grilles de salaire 2021 des agents dans la fonction publique hospitalière

Happy New Year Background. Start in 2021. 3D illustration

Pour voir les nouvelles grilles de salaire 2021 applicables au 1er janvier 2021 dans tous les corps et grades de la fonction publique hospitalière : CLIQUER ICI

Ces nouvelles grilles de salaires font suite aux différents reclassements de l’accord PPCR dans la fonction publique.

Les corps et grades en cadre d’extinction sont indiqués en rouge.

Les références aux décrets des statuts particuliers de tous les corps et grades dans chaque CAP figurent en annexe du document avec les taux de promotion 2020.

Dans ce document sur les grilles de salaire, vous trouverez les échelons, leur durée, l’indice majoré correspondant et le salaire brut en euros.

L’indice de référence à utiliser pour le calcul de la rémunération de base est l’indice Majoré qui comme indiqué dans la formule ci-dessous permet d’obtenir le traitement mensuel.

Traitement mensuel de base = Indice Majoré x Valeur du point

La valeur du point d’indice au 1er janvier 2021 sera 4,6860 €. Cette valeur du point d’indice multiplié par votre indice d’échelon majoré vous donnera votre salaire brut.

Nous n’avons pas pu ajouter les 49 points du CTI (Complément de Traitement Indiciaire) aux grilles indiciaires car le CTI tu l’as ou pas en fonction de ton affectation. Ainsi par exemple une aide-soignante selon le service où elle travaille peut l’avoir ou ne pas l’avoir. C’est pourquoi nous continuons à nous mobiliser pour que le CTI soit attribué à l’ensemble des agents de notre champ professionnel !

31 janvier 2021 – Le 4 février : en grève et en action dans la santé, le médico-social et le social

Le jeudi 4 février : première journée de mobilisation interprofessionnelle de l’année avec une manif à 10h30 à Digne. Ci-joint le tract de l’UD CGT 04.
Les problématiques de la santé ne concernent pas seulement les personnels de la santé. La question de l’énergie ne concerne pas que les professionnels du secteur. Les questions d’éducation ne concernent pas que les profs etc… C’est l’ensemble de la population qui est concernée et qui est impactée, donc la réponse doit être collective. Soyons nombreuses et nombreux pour défendre un autre projet de société et pour faire pencher la balance du bon côté !

1336. Tract UD CGT pour le février 2021

26 janvier 2021 – Rapport d’actualité de la Commission Exécutive de l’USD CGT Santé et Action Sociale 04 du 26 janvier 2021 à Digne-les-Bains

1334. Embauchez, formez, on est épuisé

Rapport d’actualité de la Commission Exécutive de l’USD CGT Santé et Action Sociale 04 du 26 janvier 2021 à Digne-les-Bains

Pour commencer sur la situation sanitaire, le gouvernement continue de mettre en place une politique en fonction de la pénurie des moyens, cette fois-ci il s’agit des vaccins. Politique de la 6ème dose. Ensuite, il y a des régions plus touchées que d’autres, certaines sont très peu touchées. Le nombre de malades en réanimations a un peu augmenté, on reste sur un plateau, il n’y a pas d’explosion pour l’instant en France. Alors, il tentent de nous affoler avec ce qui se passe dans un certain nombre de pays.

Il est important de rappeler la campagne européenne, dont la CGT est partie prenante : « Pas de profit sur la pandémie ! », vous pouvez signer la pétition. A ce sujet, il faudrait que les droits sur les brevets sautent ! Il faudrait réquisitionner les usines, comme celles de Sanofi, afin de produire des vaccins !

A noter qu’en pleine incertitude sur le rythme de la campagne de vaccination, Sanofi vient d’annoncer vouloir, encore, supprimer 400 emplois dévolus à la recherche. Le groupe pharmaceutique a touché plus d’un milliard d’euros d’aides publiques en France depuis dix ans via le crédit d’impôt recherche (CIR), un dispositif d’aides publiques qui vise à soutenir et encourager les efforts de recherche des entreprises (130 millions d’euros par an environ). Dans le même temps, Sanofi ne cesse de supprimer des emplois dans sa branche recherche et développement (R&D).

Sur les vaccins, la pénurie a été sciemment créée avec le principe capitaliste « tout ce qui est rare est cher » afin de maximiser les profits en vendant les vaccins à des prix honteux aux pays riches et en ne permettant pas aux pays pauvres de disposer de vaccins aujourd’hui.

Ensuite, autre actualité, nous devons apporter tout notre soutien à Albert Papadacci attaqué par le Groupe Korian, premièrement parce que c’est inacceptable de s’en prendre à un élu du personnel qui en plus est un symbole dans le secteur du privé lucratif, et deuxièmement parce que c’est un modèle que nous combattons puisqu’il s’agit de faire des profits sur nos aînés à n’importe quel prix.

Il faut poser le problème du groupe Korian pendant la crise et de tout le secteur privé lucratif dans les EHPAD qui se font un argent honteux sur les personnes âgées qu’ils appellent l’or gris. Ils n’on rien à faire dans la santé et le médico-social. Et il ne doit pas y avoir d’argent public pour les actionnaires.

Le 11 mars, Albert Papadacci passe au tribunal, il faudra une forte mobilisation ce jour là, ce serait même judicieux d’en faire une journée nationale de lutte contre les discriminations et les répressions syndicales.

La crise sanitaire sert de prétexte à un pouvoir toujours plus autoritaire de nous imposer des restrictions sur nos libertés totalement inédites. Et à côté, la casse des hôpitaux, la casse de notre système de santé et plus globalement de notre modèle social continue. On voit des plans, mis au point avant la crise, continuer à être mis en œuvre, malgré les discours et malgré les difficultés rencontrées.

Des lits continuent à être fermés. Des accords régressifs contre l’organisation du travail et du statut continuent notamment au travers de dispositions prévus dans le Ségur. Pour mettre en place des plans régressifs, le gouvernement a besoin d’organisations syndicales comme il a eu besoin d’organisations pour signer le Ségur. D’ailleurs, on pourrait citer comme déclinaison du Ségur au niveau local, l’exemple de l’APHP où l’accord local est extrêmement régressif.

Dans la période, à la CGT, nous avons besoin d’être très clairs sur nos revendications, d’être très clairs sur la dénonciation de ce qui se met en place, et de ce qui va se mettre en place. Ils n’ont pas bougé d’un iota pendant la crise dans leur stratégie de casse d’avant crise. La crise ne les ralentit pas dans les fermetures, dans les suppressions, dans les restructurations… Et les conditions de travail continuent de se dégrader ! Dans les EHPAD, la situation est particulièrement dégradée… un secteur qui est très touché par le virus et très touché par le manque de moyens !

Et celui qui est chargé de faire le sale boulot aujourd’hui, c’est Véran ! Les injustices sur les 183 euros, c’est Véran ! Et il faut le dénoncer fortement ! Le fiasco des masques, le fiasco des lits de réanimation, le fiasco des tests, le fiasco de la vaccination comme le fiasco du Ségur de la santé, c’est le Ministère de la santé !

C’est pour cela que la décision d’appeler devant le Ministère le 21 janvier pour la mobilisation parisienne va dans le bon sens. Car si on nous impose un confinement et des couvre-feux, tout en continuant de fermer des lits, chacun peut comprendre aisément qu’il y a un non sens évident.

En PACA, la manif régionale à Marseille a aussi voulu pointer du doigt les responsables d’où un départ devant le Conseil Régional et une arrivée devant l’ARS. Le Conseil régional qui ne remplit pas son rôle en matière notamment de financement des formations paramédicales et médicales, et l’ARS qui reste sourde face aux difficultés rencontrées. La manif était à la fois revendicative et festive. Et nous avons besoin des deux aspects dans cette période plus que difficile. Nous avons besoin de continuer à porter nos revendications que la crise a rendu encore plus légitime mais sans négliger la liberté de s’amuser, de chanter ou de danser.

Cette mobilisation nous a permis de faire le lien entre la santé et le spectacle. La santé, c’est aussi le bien être, ce n’est pas qu’une absence de maladie, peut être que c’est un moyen de travailler les convergences et travailler également le moral des militants. C’est ce que nous avons essayé de faire à Marseille le 21 janvier en faisant venir de Bordeaux le chanteur HK (de « On lâche rien ») qui a énormément dynamisé la manif de notre secteur d’activité. Cela permet de continuer à nouer des liens entre les différents départements et entre les camarades qui ont participé. Cela permet de retrouver la « pêche » dans une période où il y a beaucoup de fatalité et de fatigue.

La revendication des emplois a occupé une place majeure dans cette mobilisation du 21 janvier en lien avec notre campagne « Embauchez, formez, on est épuisé ! ». Nous avons besoin de 400 000 emplois dans notre secteur : 100 000 emplois dans les hôpitaux, 200 000 dans les EHPAD et 100 000 dans le reste du médico-social et du social. Et d’ailleurs l’enquête que nous avons menée au niveau national en novembre et décembre confirme totalement cette revendication. La première condition d’amélioration des conditions de travail aujourd’hui, c’est qu’on soit plus nombreux. Cette campagne pour les embauches peut permettre de donner des perspectives et de dynamiser notre activité syndicale.

Au niveau national, dans le cadre de la mission Laforcade la CGT s’est rendue à plusieurs réunions la semaine dernière, avec les autres organisations syndicales. On sent beaucoup d’ambigüité et d’imprécision du ministère. C’est pourquoi la CGT est prudente dans ses communications contrairement à d’autres organisations expliquant « On a gagné » depuis plusieurs mois d’ailleurs à intervalles réguliers. Le communiqué de notre Fédération explique bien ce qui a été dit mais sans vendre du rêve. N’oublions pas le secteur du handicap, le secteur des aides à domicile et les autres secteurs du médico-social et du social ! N’oublions pas les personnels du privé ! N’oublions pas de noter, que sur le Ségur, les mauvais coups ne sont pas encore arrivés ! Et n’oublions pas que seule la mobilisation des personnels fait bouger les lignes ! C’est pourquoi la CGT fait sont Ségur dans la rue avec les personnels ! C’est pourquoi nous continuerons à nous mobiliser dans le froid et sous la pluie, avec lucidité et détermination !

D’ailleurs depuis 3 ans, nous sommes arrivés à mobiliser les EHPAD. L’année dernière c’était les hôpitaux. Là on voit surgir le médico-social et le social. On continue de travailler la convergence.

Ensuite, il ne faut rien lâcher sur les salariés malades du Covid que ce soit dans le public ou dans le privé. C’est quand même scandaleux : sur le jour de carence, sur les primes de présentéisme, sur la reconnaissance en maladie professionnelle comme les personnels sont menés en bateau.

Autre point important, leur volonté de dynamiter l’unité de la fonction publique hospitalière reste intacte malgré le contexte. Le fait que dans la fonction publique, on puisse payer des personnels différemment, 183 euros pour certains, et rien pour d’autres, est à mettre en lien avec la Loi de transformation de la fonction publique avec la volonté de démanteler le statut. Leur volonté est de créer un code du travail par entreprise et un para-statut local dans chaque établissement. C’est pourquoi, il nous faut bien appréhender les conséquences de La loi du 6 août 2019 dont la plupart des décrets sont sortis pendant la crise sanitaire. Pour cela, nous organisons une journée d’étude régionale le 19 février en visio afin de partager nos réflexions sur les différents enjeux.

Enfin, la prochaine journée d’action nationale sera le 4 février. Il s’agit d’une journée interprofessionnelle, la première de l’année. Les problématiques de la santé ne concernent pas seulement les personnels de la santé. La question de l’énergie ne concerne pas que les professionnels du secteur. Les questions d’éducation ne concernent pas que les profs etc… C’est l’ensemble de la population qui est concernée et qui est impactée, donc la réponse doit être collective.