21 janvier 2015 – La CGT en première ligne de l’ANFH – Mireille Stivala élue Présidente nationale de l’ANFH

Mireille Stivala Présidente ANFH

Le syndicat CGT a toute sa légitimité dans la défense des revendications du personnel au sein de l’élaboration des plans de formation.

L’enveloppe budgétaire allouée à la formation continue, qui représente 2,1% de la masse salariale, appartient aux salariés et reste insuffisante face à vos besoins…

• Le Comité Technique d’Établissement, examine le plan de formation présenté par la direction. Vous souhaitez suivre une formation, l’ANFH peut répondre à vos besoins :

1. Formation promotionnelle :
• Vous êtes ASH vous envisagez de suivre la formation AS.

2. Formation CFP (Congé de Formation Professionnelle).
• Vous êtes ambulancier vous souhaitez devenir coiffeur.
• Vous êtes administratif vous voulez devenir soignant etc.…

Dans le CTE comme à l’ANFH, la CGT joue entièrement son rôle afin de garantir le droit de chacun à la formation continue, promotionnelle ou reconversion professionnelle. Les délégué-es CGT défendent avec force les intérêts individuels et collectifs des salarié-es à travers les valeurs d’équité et d’égalité d’accès, et ce quelles que soient leurs catégories professionnelles (ouvriers, techniques, administratifs, soignants) et leurs situations statutaires (titulaire, contractuel, contrat précaire).

Au niveau national, Mireille Stivala, membre de la commission exécutive fédérale nationale de la CGT santé et action sociale, a été élue lors du conseil d’administration du 12 décembre, présidente de l’ Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH). Au titre des présidences tournantes, L’ancien président Jean-François Lanot, président de la fédération hospitalière de France (FHF), prend la vice présidence.

Aide-soignante au Centre Hospitalier de Sarreguemines (Moselle) depuis 1993, elle siège au Conseil supérieur de la fonction publique hospitalière et au Conseil d’administration de l’ANFH depuis 2009.

Dans un communiqué diffusé sur le site de l’organisme collecteur, la nouvelle présidente indique que 2015 serait une année « charnière » avec le vote du projet stratégique 2016-2019. Elle entend agir « avec comme volonté de poursuivre et d’améliorer l’accès à la formation pour les publics fragiles, de sécuriser l’accès aux études promotionnelles, de faciliter la formation certifiante et qualifiante pour les filières techniques, logistiques ainsi qu’administratives de catégorie C, le prolongement du DPC médical et paramédical des hospitaliers… autant de chantiers pour lesquels l’ANFH a pleinement son rôle à jouer », a-t-elle indiqué.

20 janvier 2015 – Ouvrons le débat sur le travail et sur quelle organisation nous voulons !

Le constat c’est le même partout : public ou privé. Les méthodes de management sont les mêmes en France, et dans le monde entier, à quelques exceptions près. Cependant, c’est quelque chose qui ne s’est jamais discuté, comme s’il n’y avait qu’une seule façon d’aborder le travail. On voit des tickets Psy, des formations sur la gestion du stress. : mais là on gère les conséquences mais non les causes. Le travail tel qu’il est organisé rend malade les gens et les empêche de bien travailler : c’est cela la cause. Soit les salariés en souffrent soit ils se désengagent. Des études montrent que le présentéisme pose autant de problème que l’absentéisme. La souffrance est individuelle, le salarié se culpabilise. Ce qui va mobiliser, c’est changer la façon de travailler, pour transformer le travail.

Lors d’une réunion au mois d’octobre, une camarade a dit :
« On voit de plus en plus de plans sociaux, de réduction d’effectifs, d’augmentation de la charge de travail, et donc de plus en plus de mal être au travail. On veut comprendre ce mal être au travail, échanger avec les autres collègues et autres professions, pour travailler sur le thème du sens du travail et de la santé au travail, et améliorer notre travail au sein des CHSCT ». A mon sens, cela résume bien la position de nombreux militants.

La question du travail n’est jamais discutée. L’organisation du travail, qu’elle soit appelée fordisme, Taylorisme, ou Lean Management aujourd’hui, c’est la même. Elle n’est pas discutée et elle n’est pas discutable. C’est très difficile d’expliquer aux patrons ou dans les négociations que l’organisation du travail doit également être discutée avec les salariés. On ne peut pas demander aux salariés d’être toujours plus réactifs, adaptables, productifs, et en même de se taire quand il s’agit de parler de l’organisation du travail. Ce n’est plus possible. La CGT porte l’idée, et notamment depuis le dernier Congrès, que transformer le travail permettra de transformer la société.

Transformer le travail : ce doit être une stratégie du syndicat. Ce ne doit pas être porté uniquement par les membres CGT au CHSCT, si non cela ne marchera pas. Il faut que ce soit discuté, débattu dans les syndicats et se poser la question : « Est-ce que la stratégie de notre syndicat va être d’affronter le patron sur l’organisation du travail ? ». Les CHSCT ou les experts qu’on peut mobiliser ne sont que des outils au service de la stratégie choisie. On voit trop souvent l’inverse : des CHSCT demandent des expertises, et ensuite une fois les résultats obtenus, le syndicat CGT se pose la question : « Qu’est-ce qu’on en fait maintenant? », « Quelles stratégie adoptée? ». Cela est une erreur, c’est avant qu’il faut se poser la question : « Quelle stratégie a le syndicat? »… »Vers quoi veut aller le syndicat? »…et à partir de cela, comment s’appuyer sur le CHSCT et éventuellement sur une expertise. Mais avant, il faut avoir réfléchit à ce qu’on fera de cette expertise, avec les salariés, pour créer un rapport de force. De plus, on n’y arrivera pas si les salariés n’ont pas été associés à la démarche.

Le droit d’expression des salariés est essentiel.
Quand il y a eu la vague de suicide à France Télécom, François Fillon a demandé à 3 personnes d’étudier ce qui s’est passé. Ils ont élaboré un rapport « Bien être et efficacité » (Henri Lachman, Christian Larose et Muriel Pénicard) où ils ont fait 10 propositions. L’une de ces propositions était de faire en sorte que les décisions remontent et qu’elles soient prises à partir du travail. Les décisions prises d’en haut ont un impact très négatif sur les salariés. Personne n’est plus expert dans son travail que la personne qui le réalise au quotidien. Il faut écouter les agents.

Il faut mener une réflexion sur la question : « comment on fait remonter les décisions ? ». Comment faire en sorte que le salarié ne soit pas absent du processus? Il faut s’appuyer sur cette capacité à agir et à penser des salariés.

A l’heure où de plus en plus de directeurs parlent de Lean Management à l’hôpital, un article est paru dans un magazine au mois de juillet 2014 concernant General Motors.
Au mois de juillet, General Motors avait rapatrié 28 millions de voitures pour malfaçons sur les 6 premiers mois de l’année. 28 millions de voitures rapatriés aux Etats-Unis parce qu’elles ont été mal faites. Voilà les résultats du Lean Management. « Zéro temps mort, zéro défaut »…c’est du pipeau ! Comme il y a des zéro partout, du coup les voitures, elles sont mal faites, elles sont zéro aussi.
Il faut nous appuyer sur les contradictions de ce système. Quand on voit qu’on parle de plus en plus de Lean Management à l’hôpital, ça fait peur. Nous devons contester l’organisation du travail. Et nous devons contester la qualité du travail.

14 janvier 2015 – Rassemblement vendredi 16 janvier à 9h00 devant l’hôpital de Sisteron afin de refuser la mutualisation du SAMU 04 avec le 05

Rassemblement le vendredi 16 janvier à 9h00 devant l’hôpital de Sisteron. L’enjeu est de taille puisqu’il s’agit de refuser la mutualisation du SAMU 04 avec le 05. La CGT rappellent que les populations des zones rurales ne sont pas des « sous-citoyens » qui n’auraient pas les mêmes droits et les mêmes possibilités d’accès aux soins que ceux des zones urbaines. La CGT réclame une concertation avec les différents acteurs locaux et demande l’arrêt d’un projet qui n’est pas acceptable ni sur le fond ni sur la forme.

Mutualisation des SAMU 04 et 05

7 janvier 2015 – Attentat contre Charlie Hebdo – Communiqué de presse de la CGT

La CGT horrifiée par l’attentat meurtrier à Charlie-Hebdo

Après l’odieux attentat ayant fait plus d’une dizaine de morts et plusieurs blessés au siège de l’hebdomadaire Charlie-Hebdo, ce mercredi matin, la direction confédérale de la CGT, son journal La Nouvelle Vie Ouvrière, et le SNJ-CGT, horrifiés, tiennent à assurer l’ensemble des journalistes et des personnels du journal, ainsi que tous leurs proches, de leur totale solidarité.

Profondément choquée par cet acte odieux, attristée et en colère, la CGT rappelle et salue le courage de ces hommes et ces femmes qui chaque jour, chaque semaine, malgré les intimidations et les menaces, défendent la liberté de pensée et la liberté d’expression dans notre pays.

Elle souhaite que les assassins soient au plus vite arrêtés et jugés, et que toute la lumière soit faite sur leurs motivations, ainsi que sur les conditions ayant permis que le siège de l’hebdomadaire ait pu être ainsi attaqué.

La CGT appelle à un rassemblement, ce mercredi 7 janvier, à 17 heures, Place de la République, à Paris.

Montreuil, mercredi 7 janvier 2015

5 janvier 2015 – Le journal de l’UD CGT 04 du mois de décembre 2014

Journal UD CGT 04 décembre 2014


Sommaire :

Page 1 : Edito du Collectif élections CGT 04

Page 2 : Territoriaux – Des résultats époustouflants

Page 3 : Résultats élections :
* INDECOSA CGT
* ARKEMA Saint Auban
* CPAM
* ADSEA

Pages 4 et 5 : Santé – Un résultat historique !!! 20 points devant FO et 35 points devant la CFDT.

Page 6 : Le bulletin de salaire – Pourquoi les différentes branches ?

Page 7 : Un peu d’humour

Page 8 : Projet de fusion SAMU 04 et 05

Pour consulter le journal, CLIQUER ICI

1er janvier 2015 – BONNE ANNEE 2015 !

Bonne année 2015

Bonne Année 2015 !

Le syndicat CGT de l’hôpital de Manosque souhaite à tous les syndiqués à ses fidèles lecteurs, aux salarié(e)s et à leur famille, une excellente année 2015 !

Une très bonne Santé, de la Réussite dans vos projets, un travail pour tous assorti d’un salaire décent, et une année 2015 combative, annonciatrice de changement !

Solidarité, Fraternité, Unité et Mobilisation guideront nos actions afin de garantir nos acquis et d’obtenir de nouvelles conquêtes sociales.

22 décembre 2014 – La CGT demande l’arrêt du projet de fusion des Centres d’appels 15 : SAMU 04 et SAMU 05

Projet de fusion SAMU 04 et 05

Communiqué de presse sur le projet de fusion des SAMU 04 et 05

La CGT demande l’arrêt du projet de fusion des Centres d’appels 15 : SAMU 04 et SAMU 05

Les urgences, de manière globale, connaissent une situation catastrophique qui induit de nombreux conflits sociaux. Le ministère, ainsi que l’ARS PACA doivent comprendre notre réclamation de négociations nationales et locales sur l’offre de soins en urgence dans les départements des Alpes de haute Provence et des Hautes Alpes.

Lors d’une rencontre le 11 décembre 2014 à la DGOS, au ministère de la santé, dans le cadre du mouvement des urgentistes, la situation des SAMU 04 et 05 a été abordée. Cependant, le manque de dialogue social couplé à une coercition, imposés par le ministère d’un regroupement n’est pas acceptable ni sur le fond ni sur la forme.

A cette occasion, la CGT a souligné que le courrier de la ministre était révoltant.

Dans sa réponse, la ministre stipule que la régulation n’est pas tenue à un lieu. Allégations ! Cela signifierait donc que la gestion des appels d’urgence pourrait être faite n’importe où, en Inde, en Afrique et sous-traitée comme les « Center Call » ?

Le SAMU n’est pas un centre d’appel qu’on peut délocaliser, il est un standard, ancré dans une réalité géographique car pour ceux qui organisent l’intervention d’urgence et les moyens, la connaissance du terrain reste capitale.

Mettre l’intelligence dans l’organisation et les moyens c’est promouvoir la mutualisation SAMU 04, Pompiers proposée par les urgentistes.

Tous les acteurs locaux sont d’accord sur ce principe, y compris le Préfet (le représentant de l’Etat sur le territoire). Seule l’ARS, défend une position inacceptable, celle de l’insanité « fusion », commanditée par la Ministre de la santé.

Le 04 restera un département dans le nouveau schéma territorial qui doit également rester un département dans le cadre de la réorganisation globale. Pourquoi y soustraire le SAMU? Pourquoi ne pas mettre au débat cette orientation?

Les autorités publiques, en niant les réalités des territoires, accentuent les inégalités d’accès aux soins tout en bafouant le processus démocratique. Les décisions relatives aux territoires ne doivent pas être décidées à Paris.

Que fait-on, alors du consensus qui entérine la réorganisation qui doit se faire par territoire (le Département)? Nous réclamons une réorganisation locale du SAMU 04, dans le 04.Le département des Alpes de Haute Provence est légitime dans cette élaboration sanitaire.

Les populations des zones rurales ne sont pas des « sous citoyens » qui n’auraient pas les mêmes droits et les mêmes possibilités d’accès aux soins que ceux des zones urbaines.

Pour l’USDS CGT 04
La secrétaire générale
Ghislaine ROUSSEL

Digne, le 15 décembre 2014

17 décembre 2014 – Intervention de Cédric Volait, Coordinateur Régional PACA, sur la qualité de la vie syndicale lors du CNF (Comité National Fédéral) des 11 et 12 décembre 2014

Il nous faut vraiment améliorer notre qualité de vie syndicale pour être encore plus performant lors des prochaines élections. En effet, l’amélioration de notre vie syndicale est un paramètre essentiel, un élément incontournable, un objectif déterminant pour notre démarche et le rapport de force à construire, pour porter haut et fort les revendications des salariés, privés d’emploi et retraités, pour gagner ensemble des luttes, mais aussi pour palier aux nombreux départs que nous allons connaitre dans les prochaines années.

Nous devons améliorer nos savoirs, savoir-faire et savoir faire faire. Cette dimension doit être considérée sur l’ensemble des aspects techniques que ce soit en matière de rédaction des statuts, négociation des protocoles électoraux etc.… en résumé réfléchir à mieux maîtriser les différentes formes d’organisation à structurer dans un souci d’efficacité syndicale.

Nous devons préciser, dans toutes nos structures, nos règles de vie syndicale afin de gagner en efficacité et en transparence.

Concernant la syndicalisation :

Nous devons mettre en place deux types de plans de syndicalisation : un pour les endroits où nous sommes présents, et un autre pour les endroits où nous sommes absents.
Ce plan de syndicalisation doit être constitué d’un état des lieux approfondi avec les forces en présence, l’analyse des résultats, les catégories de salariés et leur évolution, la nature des emplois, les problématiques des secteurs concernés…
Se fixer ensuite des objectifs concrets par secteur et des points d’étape.
Nos efforts devront être proportionnels aux objectifs escomptés.
Il nous faut ensuite élaborer un plan de travail où seront définis les actions à mener par services, un calendrier, une répartition des tâches entre militant, une répartition du temps syndical consacré à la syndicalisation. Il faudra également mesurer les avancées, pointer et analyser les résistances et les difficultés et apporter des modifications en fonction des réalités; réajuster si besoin. Un point qui est également très important, ce sera de faire connaître les résultats et de positiver notre travail auprès des syndiqués, des salariés, et des structures de la CGT. La syndicalisation doit associer notre objectif revendicatif et la réponse individuelle, c’est en travaillant ces deux dimensions que nous gagnerons confiance, écoute, valeurs et la prise de conscience politique des salariés.

Concernant la formation syndicale :

Nous devons augmenter le nombre de formations auprès des nouveaux syndiqués. De partout la formation d’accueil doit être une priorité.
Nous devons moderniser nos formations et savoir innover en proposant de nouveaux modules.
Je pense qu’il est important d’organiser des formations « Qualité de la vie syndicale » à destination des syndicats et des militants afin de les sensibiliser :
* à l’importance de la vie syndicale
* à la nécessité de mieux travailler tous ensemble dans la CGT et afin que chacun puisse y trouver sa place
* à la non concentration des mandats
* à la démocratie participative

Sur les réflexions plus techniques, il me semble important de développer les formations régionales. C’est un échelon qui permet de ne pas trop s’éloigner tout en profitant des compétences et de l’expérience des collègues des différents départements. Il peut être intéressant par exemple de mettre en place des formations sur l’EPRD, les commissions de réforme, , les conventions collectives, les CHSCT, le CGOS, l’ANFH etc…en résumé mutualiser nos moyens pour être plus performants de partout.

Concernant les heures d’informations syndicales :

Il y a une information qui peut être réalisée en 1h00 ou en 2h00 et qui intéresse fortement les salariés, c’est celle sur la fiche de paie. Le conseil que je donnerai c’est d’y intégrer trois volets :
* Des explications techniques sur la fiche de paie.
* Un aspect plus politique où sont abordés nos revendications et notre conception des différents éléments qu’on y retrouve.
* Et enfin, un aspect historique où on explique que chaque ligne est le fruit de luttes et de victoires pour lesquelles la CGT a été en première ligne.

Concernant la communication :

Si on part du principe que chacun compte pour un, il faut que chacun soit informé au même niveau.
Nous devons donner les éléments à tous les syndicats et tous les syndiqués pour les armer dans leurs boites. Il nous faut également sensibiliser chaque syndicat aux enjeux de la communication.
Nous devons travailler avec nos élus et mandatés sur les principes et sur la méthodologie afin de les rendre plus efficaces lors des instances en termes de préparation, participation et restitution. Si nécessaire, mettre en place des modules au niveau de l’USD ou de l’UD afin de permettre à nos élus et mandatés d’être plus à l’aise dans les instances, plus efficaces et rendre leur travail plus visible auprès des salariés. Là aussi il nous faut mutualiser, en mettant en place, par exemple, un blog par groupe.

Je voudrais dire un mot sur les journaux syndicaux. Je trouve qu’avoir un journal du syndicat au niveau local en lien direct avec les réalités de terrain est quelque chose de très important pour les salariés. Les salariés sont très demandeurs de ce genre de communication, bien plus qu’un tract ou des infos nationales.
De plus, il faut davantage mettre des fichiers dans des formats modifiables à la disposition des syndicats. Nous devons privilégier des documents de qualité personnalisables. Nous devons améliorer nos boîtes à outils départementales et nationales.

Pour conclure, je dirais que nous devons améliorer notre organisation et notre façon de travailler. L’idéal serait d’avoir dans chaque syndicat:
un référent syndicalisation et de mettre en place un plan de syndicalisation. Avoir un référent formation syndicale et élaborer un plan de formation. Avoir un référent communication et réaliser un plan de communication etc…
Mais, on ne s’improvise pas concepteur de plans de syndicalisation, de formation ou de communication. Là encore, nous devons mutualiser les moyens et identifier nos militants à la pointe dans ces secteurs et capables d’accompagner les syndicats.

Enfin, il ne suffit pas de faire des adhérents, il faut aussi les garder. Quelqu’un qui adhère à la CGT, c’est quelqu’un qui a un espoir de voir ses conditions de travail s’améliorer. Et quelqu’un qui rend sa carte, c’est quelqu’un qui n’a pas vu ses espoirs aboutir.
Voilà, c’était quelques conseils pour cette nouvelle année. Merci de votre attention.